Vous êtes du genre à voir le verre à moitié plein ? Malheureusement, l’optimisme ne suffit pas à se préserver des imprévus en voyage. Les anticiper et se faire accompagner par des experts, c’est se donner les moyens de mieux les coups durs lorsqu’on est en déplacement. Surtout à l’autre bout du monde.
C’est pourquoi l’assurance voyage rapatriement reste la meilleure des garanties pour un séjour serein. Elle vous accompagne et vous couvre en cas de problème médical nécessitant une évacuation sanitaire. Suivez le guide : on vous dit tout sur cette protection indispensable lorsqu’on part en voyage.
1. Ai-je vraiment besoin d’une assurance voyage rapatriement ?
Oui, parce que nul n’est à l’abri d’un imprévu, ni d’un souci de santé ni d’un accident en voyage. Que ce soit dans le cadre d’un déplacement touristique, d’un séjour familial, d’un voyage professionnel, d’un stage/études à l’étranger ou d’une expérience de télétravail dans un autre pays. Imaginez que vous ayez un accident en deux-roues sur une petite île thaïlandaise, que vous ayez attrapé un méchant virus nécessitant des soins particuliers pendant votre périple en Amérique du sud, ou que vous vous soyez cassé la jambe lors d’un trek en Arménie et que vous ne puissiez pas poursuivre votre road trip …
L’assurance assistance rapatriement vous assure, ainsi qu’à vos proches, une véritable prise en charge où que vous vous trouviez.
Si votre état de santé le nécessite, elle organise et finance votre transfert vers un hôpital adapté (local, dans un pays voisin ou de votre pays de résidence) ou à votre domicile.
Sans assurance rapatriement, vous risquez la triple peine. En plus d’un problème de santé, vous devrez gérer seul et loin de vos repères la mise en place d’une évacuation et surtout vous devrez régler une facture colossale couvrant les frais de soins et de rapatriement.
Le saviez-vous ? En juillet 2022, lors de ses vacances en Crète, un jeune touriste belge chute du 3ème étage de son hôtel. Il s’en sort avec plusieurs factures au dos et deux côtes cassées. Il est hospitalisé sur place mais souhaite être rapatrié chez lui, en Belgique, pour commence sa longue convalescence. Mais faute d’assurance rapatriement, il doit régler lui-même la facture qui s’élève à 25.000 euros. Sa famille n’a pas les moyens de payer une telle somme et sa mère est alors obligée de lancer un appel aux dons sur les réseaux sociaux pour financer le retour de son fils.
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